Une princesse saoudienne ordonne à un artisan de s’agenouiller et de lui baiser les pieds, car ce chien, il ne mérite pas de vivre !
Une plainte a été déposée contre la fille de l’ex-roi Khaled qui a fait rouer de coups un homme qui effectuait des travaux dans son appartement.
Séquestré durant plus de quatre heures, un artisan a été menacé de mort par une riche saoudienne pour avoir pris une photo à l’intérieur de son appartement. Le garde du corps de la princesse a copieusement frappé l’homme, qui a porté plainte selon le journal Le Point.
Alors qu’il prenait une photo de la pièce où il devait intervenir, la princesse a fait héler son garde du corps armé.
Les gorilles étrangers sont en effet autorisés à porter une arme par le ministère de l’Intérieur, alors que cela est interdit aux professionnels de la sécurité privée de nationalité française, sauf rares exceptions.
En dépit des explications de l’artisan – il a l’habitude de prendre des clichés avant travaux afin de remettre les objets et meubles à la même place –, le cerbère l’empoigne. Il est accusé de réaliser des photos afin de les revendre à des journalistes.
C’est assurément un chantier que cet artisan parisien n’oubliera pas de sitôt. Sollicité pour effectuer des travaux dans un appartement cossu du XVIe arrondissement de la capitale par la fille de l’ex-roi d’Arabie Saoudite Khaled, l’homme ne se doutait pas qu’il serait passé à tabac et menacé avec une arme pour avoir fait, comme à son habitude, un cliché de l’appartement avant le début de ses travaux pour tout remettre en place à la fin du chantier.
Ainsi, comme le rapporte Le Point qui ne précise pas la date exacte de l’incident, l’homme a été accusé de vouloir revendre ses photos à des journalistes. Le garde du corps de la princesse l’a alors frappé, avant de le ligoter et de le mettre à genoux devant la noble saoudienne. L’homme de main l’a ensuite braqué avec son arme pour le contraindre à lui baiser les pieds.
Récalcitrant, il est alors mis en joue.
«Il faut le tuer, ce chien, il ne mérite pas de vivre», a alors hurlé la princesse enragée .Selon le procès-verbal de la plainte déposée au commissariat, l’artisan a été séquestré durant quatre heures, avant qu’une copie de sa pièce d’identité ne soit faite par les gardes du corps de la princesse.
Les Saoudiens l’ont ensuite jeté dehors, l’interdisant «à jamais» de revenir dans l’arrondissement, conservant tout son matériel, et sans s’acquitter d’une facture de 20 000 euros.
Les suites judiciaires de cette affaire sont pour le moment encore inconnues.Les mauvais traitements au personnel sont réguliers parmi les riches familles du Golfe, certaines d’entre elles bénéficiant en plus de l’immunité diplomatique. Cela rend aléatoire toute tentative de poursuite judiciaire. À ce stade, le parquet de Paris n’a pas fait connaître la suite qu’il entendait donner à cette plainte.
Une plainte a été déposée contre la fille de l’ex-roi Khaled qui a fait rouer de coups un homme qui effectuait des travaux dans son appartement.
Séquestré durant plus de quatre heures, un artisan a été menacé de mort par une riche saoudienne pour avoir pris une photo à l’intérieur de son appartement. Le garde du corps de la princesse a copieusement frappé l’homme, qui a porté plainte selon le journal Le Point.
Alors qu’il prenait une photo de la pièce où il devait intervenir, la princesse a fait héler son garde du corps armé.
Les gorilles étrangers sont en effet autorisés à porter une arme par le ministère de l’Intérieur, alors que cela est interdit aux professionnels de la sécurité privée de nationalité française, sauf rares exceptions.
En dépit des explications de l’artisan – il a l’habitude de prendre des clichés avant travaux afin de remettre les objets et meubles à la même place –, le cerbère l’empoigne. Il est accusé de réaliser des photos afin de les revendre à des journalistes.
C’est assurément un chantier que cet artisan parisien n’oubliera pas de sitôt. Sollicité pour effectuer des travaux dans un appartement cossu du XVIe arrondissement de la capitale par la fille de l’ex-roi d’Arabie Saoudite Khaled, l’homme ne se doutait pas qu’il serait passé à tabac et menacé avec une arme pour avoir fait, comme à son habitude, un cliché de l’appartement avant le début de ses travaux pour tout remettre en place à la fin du chantier.
Ainsi, comme le rapporte Le Point qui ne précise pas la date exacte de l’incident, l’homme a été accusé de vouloir revendre ses photos à des journalistes. Le garde du corps de la princesse l’a alors frappé, avant de le ligoter et de le mettre à genoux devant la noble saoudienne. L’homme de main l’a ensuite braqué avec son arme pour le contraindre à lui baiser les pieds.
Récalcitrant, il est alors mis en joue.
«Il faut le tuer, ce chien, il ne mérite pas de vivre», a alors hurlé la princesse enragée .Selon le procès-verbal de la plainte déposée au commissariat, l’artisan a été séquestré durant quatre heures, avant qu’une copie de sa pièce d’identité ne soit faite par les gardes du corps de la princesse.
Les Saoudiens l’ont ensuite jeté dehors, l’interdisant «à jamais» de revenir dans l’arrondissement, conservant tout son matériel, et sans s’acquitter d’une facture de 20 000 euros.
Les suites judiciaires de cette affaire sont pour le moment encore inconnues.Les mauvais traitements au personnel sont réguliers parmi les riches familles du Golfe, certaines d’entre elles bénéficiant en plus de l’immunité diplomatique. Cela rend aléatoire toute tentative de poursuite judiciaire. À ce stade, le parquet de Paris n’a pas fait connaître la suite qu’il entendait donner à cette plainte.
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